En même temps, Rousseau a osé défier l’autorité et s’analyser, il annonce ses défauts et bassesse au monde entier, c’est précieux et unique dans le monde。 Il n’y a pas eu un écrivain si honnête dans l’histoire de la littérature avant Rousseau。 Dans les écrivains classiques, on attache de l’importance à la réalité。 Molière et Voltaire s’embellissent ou ne pas s’expriment。 Donc Rousseau est le premier de dire la vérité qui fait la fierté des écrivains。 Michel de Montaigne au XVIe siècle, a parlé de ses défauts dans son œuvre mais ils sont les défauts assez mignons après l’embellissement。 Rousseau l’a critiqué, « la Montaigne laisse les autres voir ses défauts, mais il a exposé ses inconvénients plus adorables。 Une personne sans odieux n’existe pas。 Michel de Montaigne fait le portrait du personnage comme lui-même, mais seulement il est un côté profil。 Qui sait s’il a changé son visage complètement ? » Rousseau a critiqué la Montaigne, alors sur lui-même ? On peut voir que Rousseau a vraiment exposé tous ses sentiments et ses idées, il a écrit à la fois son bon et son mal。

En raison de la confiance de Rousseau qu’il a une âme plus belle, honnête et naturelle, il a osé affronter le monde et juré audacieusement : « que la trompette du jugement dernier sonne quand elle voudra, je viendrai, ce livre à la main, me présenter devant le souverain juge。 Je dirai hautement : Voilà ce que j’ai fait, ce que j’ai pensé, ce que je fus。 J’ai dit le bien et le mal avec la même franchise。 Je n’ai rien tu de mauvais, rien ajouté de bon ; et s’il m’est arrivé d’employer quelque ornement indifférent, ce n’a jamais été que pour remplir un vide occasionné par mon défaut de mémoire。 J’ai pu supposer vrai ce que je savais avoir pu l’être, jamais ce que je savais être faux。 Je me suis montré tel que je fus : méprisable et vil quand je l’ai été ; bon, généreux, sublime, quand je l’ai été : j’ai dévoilé mon intérieur tel que tu l’as vu toi-même。 Être éternel, rassemble autour de moi l’innombrable foule de mes semblables ; qu’ils écoutent mes confessions, qu’ils gémissent de mes indignités, qu’ils rougissent de mes misères。 Que chacun d’eux découvre à son tour son coeur au pied de ton trône avec la même sincérité, et puis qu’un seul te dise, s’il l’ose : je fus meilleur que cet homme-là。 » (Rousseau 3) Cette œuvre ouvre une ère nouvelle et promeut la littérature française au XIXe siècle。

2。2 Les expressions des idées dans Au fil de la plume de Ba Jin文献综述

En 1927, Ba Jin a poursuivi des études à Paris en nourrissant l’idéal révolutionnaires à l’âge de 23 ans。 Dans plus d’une année des études, il a plus de chance d’entrer en contact avec des œuvres de Rousseau, le mépris des dignitaires, la poursuit de l’égalité, le courage de dire la vérité et l’esprit anti-féodal de Rousseau a l’influence profonde sur lui。 Ba Jin va arriver devant la statue de bronze de Rousseau sur la place avant le Panthéon de Paris en épanchant la douleur intérieure des jeunes exotiques。 Après plus de 50 ans, le vieil homme Ba Jin a écrit 42 000 mots de Au fil de la plume avec beaucoup de courage et de bonne foi après « la catastrophe de dix ans »。 On n’est pas difficile de trouver des points communs et des similitudes dans les deux pièces。 Cela indique que Rousseau a l’influence profonde sur les idées et la création de Ba Jin。 Donc, comme Ba Jin a juré devant la statue de bronze de Rousseau : « j’apprends Les Confessions afin de dire la vérité, je respecte Rousseau et l’appelle le professeur。 »