d’accélérer le pas à auguementer la popularisation du français。 Par exemple, quant aux Hurons,ils ne sont pas enclins à adopter la langue française。 Le gouvernement
organise 《se mettre à l’école les Sauvages》。 En outre, une polique d’interfration par
le mariage,la culture et la langue est mise en place。 Par le mariage avec les habitants locaux, il dépend plus aux femmes à transférer le français。 Selon la recherche, la majorité ou une part des femmes connaitrent le français。 Donc, elles peuvent ensigner leurs enfants à maîtriser le français comme une langue commune depius son enfance。 Les espoirs et les efforts sont grands, comme le laisse entrevoir une lettre de Marie de l’Incarnation datant de 1668:nous avons francisé plusieurs filles Sauvages, tant Huronnes qu’Algonquines, que nous avons ensuite mariées à des Français,qui font fort bon ménage。 Il y en a une entre autres qui sait lire et écrire en perfenction, tant en sa langue huronne qu’en notre française; il n’y a persone qui la puisse distinguer ni se persuader qu’elle soit née Sauvage。Sa majesté désire que l’on francise ainsi peu à peu tous les Sauvages, afin d’en faire un peuple poli。文献综述
Et les premiers immigrés venant de la France,ils ne se comprennent pas: ils viennent de différentes provinces en France et ils parlent leurs patois avec l’accent local。 Quand ils rencontrent souvent leurs voisins qui parlent les autres patois, ils ne se comprennent pas et ont besion de la langue commune。 À ce moment-là,la langue la plus autoritaire est plus concluant, c’est pourquoi ils préfèrent la langue du roi。Sur l’ensemble de l’Hexagone, les patois morcellent la France。 En effet, un peu des français maîtrisent savamment le français; les deux cinquièmes des gens en France ne comprennent pas le français ni le parlent。 Sur l’Hexagone, il dépend de la réforme de Louis XIV à unifier la langue。 En Nouvelle-France, la vitesse de l’unification de la langue et de la transition envers le français, elle est plus vite que ce en France。 La Nouvelle-France possède de plus en plus de habitants francophones。